Introduction
La programmation pour les scientifiques est essentiellement diviser en deux clans, soit le premier nécessitant des puissants de calculs phénoménale en téraflops et exigeant forcement des super ordinateurs dominés par les produits de Cray Research, IBM, Dell,... pour effectuer par exemple des simulations nucléaires, météorologique, d'astrophysique (analyse d'accélérateurs de particules,...), astronomie (analyse des données des télescopes)... tandis que le deuxième est davantage centrées sur certains langages de programmation spécialisés permettant de pousser la science vers de nouveaux horizons. Malgré ses clans, il demeure que dans les 2 cas, ils se basent tous sur une très grande quantité de fonctions de mathématique afin de résoudre les problèmes et que de ce fait, il est difficile d'envisager de la recherche scientifique sans avoir de solide connaissance en mathématique. Ainsi, l'utilisation de polynomiales, de fractales, d'ellipses, d'algorithme récursif, de permutations, de combinaisons, de courbes, d'algorithme de graphe probabiliste, de tri, d'algèbre linéaire, d'approximation, d'intégrale,... sont monnaies courantes dans se domaine de la programmation. Par conséquent, la programmation scientifique n'a pas vraiment d'intérêt pour l'aspect électronique mais plutôt pour les formules pures !