Machine virtuelle

Les machines virtuelles, souvent appelé appelé VM, sont une unité de base de ressources informatiques et un bon point de départ pour expérimenter l'infonuagique. Une fois que vous avez créé un compte auprès d'un fournisseur d'infonuagique et que vous avez fournit des informations de facturation, vous pouvez utiliser un portail ou des outils de ligne de commande pour créer des machines virtuelles. La plupart des fournisseurs infonuagiques propose une variété de machine virtuelle préconfigurées avec un nombre variable de processeurs virtuels et des quantités de mémoire variables. Vous pouvez également créer une configuration personnalisée si les offres préconfigurées ne répondent pas à vos besoins. Une fois que vous avez créé une machine virtuelle, vous pouvez vous y connecter et l'administrer comme vous le souhaitez. Vous avez un accès complet à la machine virtuelle, vous pouvez donc configurer des systèmes de fichiers, ajouter un entreposage persistant, corriger le système d'exploitation ou installer des paquets supplémentaires. Vous décidez quoi exécuter sur la machine virtuelle, qui d'autre y aura accès et quand arrêter la machine virtuelle. Une machine virtuelle que vous gérez, c'est comme avoir un serveur dans votre bureau sur lequel vous disposez des droits d'administrateur complets. Vous pouvez bien sûr créer plusieurs machines virtuelles exécutant différents systèmes d'exploitation et applications. Normalement, les fournisseurs infonuagiques fournissent également des services, tels que des équilibreurs de charge, proposant un point d'accès unique à un dorsale distribué. Cette situation est particulièrement utile lorsque vous avez besoin d'une haute disponibilité pour votre application. Si l'une des machines virtuelles d'une unité d'allocation échoue, la charge de travail peut être dirigée vers les autres machines virtuelles de l'unité d'allocation. Les autoscalers peuvent ajouter ou supprimer des machines virtuelles des bases de l'unité d'allocation sur la charge de travail. C'est ce qu'on appelle l'autoscalling. Cela permet à la fois de contrôler les coûts en n'exécutant pas plus de machines virtuelles que nécessaire et de garantir qu'une capacité de calcul suffisante est disponible lorsque les charges de travail augmentent.