Voici un tableau de référence des termes et expressions associées au TRSDOS :
Terme | Description | |
---|---|---|
access | Ce mot permet d'indiquer la méthode dans laquelle les informations sont lues ou écrites sur le disque ; voir accès aléatoire et accès séquentiel. | |
address | Ce mot permet d'indiquer un emplacement en mémoire, généralement spécifié sous la forme d'un nombre hexadécimal à deux octets. L'intervalle d'adresses de 0 à FFFF est représentée en décimal par 0 à 32767, -32768,...,-1. | |
alphabetic | Ce mot se référant strictement aux lettres de A à Z. | |
alphanumeric | Ce mot se référant à l'ensemble des lettres A à Z et des chiffres 0 à 9. | |
argument | Ce mot permet d'indiquer la chaîne ou la quantité numérique étant fournie à une fonction et étant ensuite exploitée pour dériver un résultat ; ce résultat est appelé la valeur de la fonction. | |
array | Ce mot permet d'indiquer un ensemble organisé d'éléments pouvant être référencés au total ou individuellement, en utilisant le nom du tableau et un ou plusieurs indices. En BASIC, n'importe quel nom de variable peut être utilisé pour nommer un tableau ; et les tableaux peuvent avoir une ou plusieurs dimensions. AR() signifie un tableau unidimensionnel nommé AR ; AR(,) signifie un tableau à deux dimensions nommé AR ;... | |
ASCII | Ce mot provient de l'abréviation de l'anglicisme «American Standard Code for Information Interchange». Cette méthode de codage est utilisée pour entreposer des données textuelles. Les données numériques sont généralement entreposées dans un format plus compressé. | |
ASCII format disk file | Cette expression permet d'indiquer des fichiers de disque dans lesquels chaque octet correspond à un caractère des données d'origine. Par exemple, un programme BASIC entreposé au format ASCII "ressemble" à la liste des programmes, sauf que chaque caractère est codé en ASCII. Comparer au fichier au format compressé. | |
background task | Cette expression permet d'indiquer une routine relativement lente que l'ordinateur exécute avec d'autres tâches en arrière-plan et étant sujette à des interruptions. Lorsque les tâches déclenchées par interruption sont terminées, les tâches d'arrière-plan continuent. Voir tâche de premier plan, tâche. | |
backup disk | Cette expression permet d'indiquer une copie conforme de l'original : une «copie sécurisée». Vous devez conserver des sauvegardes de votre disquette TRSDOS originale et de toutes les disquettes de données importantes. | |
BASIC | Ce mot provient de l'abréviation de l'anglicisme «Beginners' All-purpose Symbolic Instruction Code», le langage de programmation entreposé en ROM dans le TRS-80. Radio Shack prend en charge LEVEL I BASIC, LEVEL II BASIC et DISK BASIC. LEVEL II est un sous-ensemble de DISK BASIC. | |
baud | Ce mot permet d'indiquer la vitesse de signalisation en bits par seconde. L'interface cassette LEVEL II fonctionne à 500 bauds. | |
binary | Ce mot permet d'indiquer binaire, soit deux états possibles, par exemple, les chiffres binaires 0 et 1. Le système de numérotation binaire (base 2) utilise des séquences de zéros et de uns pour représenter les quantités. Ceci est analogue à la représentation interne des données de l'ordinateur, en utilisant des valeurs électriques pour 0 et 1. | |
bit | Ce mot permet d'indiquer le chiffre binaire ; la plus petite unité de mémoire de l'ordinateur, capable de représenter les valeurs 0 et 1. | |
bootstrap program | Cette expression permet d'indiquer un fondamental ou primitif faisant passer l'ordinateur d'un état OFF à un état dans lequel il est capable de charger et d'exécuter un programme de niveau supérieur - c'est-à-dire un programme permettant à l'ordinateur de se relever par ses propres démarrages. Un programme initialisant l'ordinateur. | |
break | Ce mot permet d'indiquer l'action d'interrompre l'exécution d'un programme. En BASIC, l'instruction :
STOP
provoque une interruption de l'exécution, tout comme l'appui sur la touche BREAK. |
|
buffer | Ce mot permet d'indiquer une zone dans la RAM où les données sont accumulées pour un traitement ultérieur. Par exemple, pour passer des données de BASIC à un fichier disque, et vice-versa, les données doivent passer par un tampon de fichier. | |
buffer field | Cette expression permet d'indiquer une partie du tampon que vous définissez comme zone d'entreposage pour une variable de champ tampon. La division d'un tampon en champs vous permet de transmettre plusieurs valeurs vers et depuis l'entreposage sur disque. | |
byte | Ce mot permet d'indiquer la plus petite unité de mémoire adressable de l'ordinateur, composée de 8 bits consécutifs et capable de représenter 256 valeurs différentes, par exemple des valeurs décimales de 0 à 255. | |
compressed-format | Cette expression permet d'indiquer une méthode d'entreposage d'informations dans moins d'espace qu'une représentation ASCII standard nécessiterait. Un entier nécessite toujours deux octets, un nombre simple précision, quatre ; un nombre à double précision, 8 - quel que soit le nombre de caractères requis pour représenter les nombres sous forme de texte. Les valeurs de chaîne de caractères ne peuvent pas être entreposées au format compressé. Les programmes BASIC dans les fichiers RAM et sur disque non ASCII sont entreposés au format compressé, avec tous les mots-clefs BASIC entreposés sous forme de codes spéciaux à un octet. | |
command file | Cette expression permet d'indiquer un fichier disque TRSDOS avec l'extension /CMD. Un tel fichier doit consister en un programme Z-80 exécutable, puisque TRSDOS se chargera et tentera de l'exécuter lorsque vous tapez :
Les fichiers de commande peuvent être placés sur n'importe quel disque ; en effet, ils étendent l'ensemble des commandes de la bibliothèque TRSDOS (bien qu'ils restent bien sûr externes aux fichiers système TRSDOS). |
|
close | Ce mot permet d'interrompre l'accès à un fichier disque. Avant de ré-accéder au fichier, vous devez le rouvrir. | |
data | Ce mot permet d'indiquer les informations transmises à notre sortie à partir d'un programme ; sous LEVEL II et
DISK BASIC, il existe quatre types de données :
|
|
data/device control block (BCD) | Cette expression permet d'indiquer une zone de RAM associée à un tampon d'entrée/sortie, contenant les informations dont le système d'exploitation a besoin pour accéder au périphérique ou au fichier d'entrée/sortie. | |
debug | Ce mot permet d'indiquer l'action d'isoler et supprimer les erreurs de logique ou de syntaxe d'un programme. | |
decimal | Ce mot permet d'indiquer l'association de l'un des dix états, par exemple les chiffres décimaux 0, 1,...,9. La numérotation décimale (base 10) est le système de tous les jours, utilisant des séquences de chiffres décimaux. Les nombres décimaux sont entreposés en code binaire dans l'ordinateur. | |
default | Ce mot permet d'indiquer l'action ou valeur fournie par l'ordinateur lorsque vous ne spécifiez pas d'action ou de valeur à utiliser. | |
delimiter | Ce mot permet d'indiquer le caractère marquant le début ou la fin d'un élément de données et ne fait pas partie des données. Par exemple, le symbole de guillemet double est un délimiteur de chaîne de caractères pour BASIC. | |
destination | Ce mot permet d'indiquer le périphérique ou l'adresse recevant les données lors d'une opération de transfert de données. Par exemple, lors d'une opération BACKUP, le disque destination est celui sur lequel est copié le disque source. | |
device | Ce mot permet d'indiquer la partie physique du système informatique utilisée pour les entrées/sorties de données, par exemple clavier, écran, imprimante ligne, cassette, unité de disque, synthétiseur vocal. | |
directory | Ce mot permet d'indiquer la liste des fichiers contenus sur un disque. | |
disk drive ou Mini Disk drive | Cette expression permet d'indiquer le périphérique physique écrivant des données sur des disquettes et les récupère. | |
diskette ou disk | Ce mot permet d'indiquer le support d'enregistrement magnétique pour l'entreposage de masse de données. | |
drive specification ou drivespec | Cette expression permet d'indiquer un champ facultatif dans une spécification de fichier TRSDOS et dans certaines commandes TRSDOS, composé de deux-points suivis de l'un des chiffres 0 à 3. Le drivespec est utilisé pour spécifier quel l'unité de disque doit être utilisé pour une lecture ou une écriture sur disque. Lorsque la spécification de l'unité de disque est omise dans une commande impliquant une opération de lecture, TRSDOS recherche sur tous les disques le fichier souhaité, en commençant par l'unité de disque 0. Lorsque la spécification de l'unité de disque est omise dans une commande impliquant une opération d'écriture, TRSDOS recherche généralement dans tous les disques non protégés en écriture pour le fichier souhaité. | |
drive number | Cette expression permet d'indiquer une valeur entière de 0 à 3, spécifiant l'un des unités de disque Mini Disk. L'unité de disque 0 est le plus proche de l'interface d'extension et l'unité de disque 3 est le plus éloigné. L'unité de disque 0 doit toujours contenir la disquette TRSDOS, à quelques exceptions près. | |
dummy variable | Cette expression permet d'indiquer un nom de variable étant utilisé dans une expression pour répondre aux exigences syntaxiques, mais dont la valeur est insignifiante pour le programmeur. | |
edit | Ce mot permet d'indiquer l'action de modifier les informations existantes. | |
end of file ou EOF | Cette expression ou abréviation permet d'indiquer un marqueur indiquant la fin d'un fichier disque, c'est-à-dire là où les données significatives se terminent et l'inconnu commence. | |
entry point | Cette expression permet d'indiquer l'adresse d'un programme ou d'une routine en langage machine où l'exécution doit commencer. Ce n'est pas nécessairement la même que l'adresse de départ. Le point d'entrée est également appelé adresse de transfert. | |
expression | Ce mot permet d'indiquer une séquence significative d'une ou plusieurs variables, constantes, opérateurs et fonctions. | |
field | Ce mot permet d'indiquer une subdivision définie par l'utilisateur d'un tampon de fichiers à accès aléatoire, créée et nommée avec l'instruction FIELD. | |
field name | Cette expression permet d'indiquer une variable de chaîne de caractères ayant été affectée à un champ dans un tampon de fichier à accès aléatoire via l'instruction FIELD. | |
file | Ce mot permet d'indiquer une collection organisée de données connexes. Sous TRSDOS, un fichier est le plus grand bloc d'informations pouvant être adressé avec une seule commande. Les programmes BASIC et les ensembles de données sont entreposés sur disque dans des fichiers distincts. | |
file extension | Cette expression permet d'indiquer un champ facultatif dans une spécification de fichier, consistant en un / suivi d'un caractère alphabétique et jusqu'à deux caractères alphanumériques ; l'extension peut être utilisée pour identifier le type de fichier, par exemple, /BAS, /TXT, /CIM, pour BASIC, texte et image principale, respectivement. | |
filename | Ce mot permet d'indiquer le champ obligatoire dans une spécification de fichier, composé d'un caractère alphabétique suivi d'un maximum de 7 caractères alphanumériques. Les noms de fichiers sont attribués lorsqu'un fichier est créé ou renommé. | |
file specification ou filespec | Cette expression permet d'indiquer une séquence de caractères spécifiant un disque particulier sous TRSDOS, composé d'un nom de fichier obligatoire, suivi d'une extension facultative, d'un mot de passe et d'une spécification d'unité de disque. | |
foreground task | Cette expression permet d'indiquer une routine relativement rapide que l'ordinateur doit exécuter périodiquement, en séquence avec d'autres tâches de premier plan. Ces tâches sont pilotées par des interruptions. Voir tâche en arrière-plan, tâche, interruption. | |
format | Ce mot permet d'indiquer l'action d'organiser une disquette neuve ou effacée magnétiquement en pistes et secteurs, via l'utilitaire FORMAT du TRSDOS. BACKUP formate aussi implicitement une disquette vierge. Les disquettes formatées contiennent 35 pistes, chacune contenant 10 secteurs. | |
granule | Ce mot permet d'indiquer la plus petite unité d'espace allouable sur un disque, composée de 5 secteurs. | |
hexadecimal ou hex | Ce mot permet d'indiquer l'association de l'un des 16 états possibles. Par exemple, les chiffres hexadécimaux sont 0, 1, 2,..., 9, A, B, C, D, E, F. Les nombres hexadécimaux (base 16) sont des séquences de forme hexadécimale. Sous DISK BASIC, les constantes hexadécimales peuvent être entrées en préfixant la constante avec &H. | |
increment | Ce mot permet d'indiquer la valeur étant ajoutée à un compteur chaque fois qu'un cycle d'une procédure répétitive est terminé. | |
input | Ce mot permet d'indiquer l'action de transférer des données depuis l'extérieur de l'ordinateur (à partir d'un fichier disque, d'un clavier,...) vers la RAM. | |
interrupt | Ce mot permet d'indiquer un signal amenant l'ordinateur à interrompre ce qu'il est en train de faire et à effectuer une autre tâche spécifiée ; lorsque la tâche est terminée, l'ordinateur reprend généralement l'exécution de la tâche précédente. L'interface d'extension TRS-80 comprend une interruption "pulsation" de 25 millisecondes, étant utilisée pour piloter l'horloge en temps réel et d'autres tâches de premier plan. Les tâches déclenchées par des interruptions peuvent être planifiées et affectées de priorités, de sorte que l'ordinateur semble faire deux choses ou plus à la fois. | |
kilobyte ou K | Ce mot permet d'indiquer 1024 octets de mémoire. Ainsi une ROM de 12 Ko comprend 12*1024=12288 octets. | |
library commands | Cette expression permet d'indiquer un ensemble de commandes TRSDOS superposées étant superposées selon les besoins dans la RAM entre 5200 et 6FFF, pour voir quelles commandes de bibliothèque sont disponibles, utilisez la commande LIB du TRSDOS :
|
|
logical expression | Cette expression permet d'indiquer une expression étant évaluée comme VRAI (=-1) ou FAUX (=0). | |
logical record | Cette expression permet d'indiquer un bloc de données contenant de 1 à 256 octets et pouvant être adressé comme une unité, que l'enregistrement logique soit contenu dans un seul enregistrement ou s'étende sur deux enregistrements physiques. | |
machine language | Cette expression permet d'indiquer un ensemble d'instructions Z-80, généralement spécifié en code hexadécimal. Tout langage de niveau supérieur doit être traduit en langage machine pour être exécuté par l'ordinateur. | |
null string | Cette expression permet d'indiquer une chaîne de caractères ayant une longueur de zéro ; Par exemple, l'association :
A$=""
fait de A$ une chaîne de caractères nulle. |
|
object code | Cette expression permet d'indiquer du langage machine dérivé du "code source", généralement du langage d'assemblage. | |
octal | Ce mot permet d'indiquer l'association de l'un des 8 états, par exemple, les chiffres octaux sont 0, 1,..., 7. Les nombres octaux (base 8) sont des séquences de chiffres octaux. Les valeurs d'adresse et d'octet sont souvent données sous forme octale. Sous DISK BASIC, une constante octale peut être entrée en préfixant le nombre octal avec le symbole &O. | |
open | Ce mot permet d'indiquer l'action de préparer l'accès à un fichier en lui attribuant une entrée séquentielle, une sortie séquentielle ou un tampon d'entrée/sortie aléatoire. | |
output | Ce mot permet d'indiquer l'action de transférer des données de l'intérieur de la mémoire d'un ordinateur vers une zone externe, par exemple un fichier disque ou une imprimante ligne. | |
overlay | Ce mot permet d'indiquer l'action de remplacer un bloc de code dans la RAM par un autre bloc. Aussi, le code remplaçant le contenu précédent de la RAM. Par exemple, les routines système TRSDOS sont entreposées sur disque et chargées dans une zone commune de RAM en tant que recouvrements (superpositions). | |
parameter | Ce mot permet d'indiquer les informations facultatives fournies avec une commande pour spécifier comment la commande doit fonctionner. Les paramètres TRSDOS sont placés entre parenthèses. | |
password | Ce mot permet d'indiquer le champ facultatif dans une spécification de fichier composé d'un caractère alphanumérique suivi de 7 caractères alphanumériques supplémentaires. Si un fichier est créé sans mot de passe, 8 blancs deviennent le mot de passe par défaut. Pour accéder à un fichier, vous devez spécifier le mot de passe dans le filespec. À l'aide de la commande ATTRIB du TRSDOS, vous pouvez attribuer à la fois des mots de passe de mise à jour et d'accès ; le mot de passe d'accès n'accorde qu'un accès limité, tandis que le mot de passe de mise à jour accorde un accès total au fichier. Voir filespec. | |
physical record | Cette expression permet d'indiquer la plus petite quantité de données pouvant être écrites sur un fichier disque ou lues à partir de celui-ci ; sous TRSDOS, les enregistrements physiques se composent de 256 octets. Notez que la longueur d'enregistrement physique peut être ignorée par le programmeur en langage assembleur, car le TRSDOS prend en charge les enregistrements logiques d'une longueur de 1 à 256 octets. | |
prompt | Ce mot permet d'indiquer un caractère ou message fourni par l'ordinateur pour indiquer qu'il est prêt à accepter la saisie au clavier. | |
protected file | Cette expression permet d'indiquer un fichier disque ayant un mot de passe non vide, et donc accessible uniquement par référence à ce mot de passe. | |
protected level | Cette expression permet d'indiquer qu'un degré d'accès accordé à l'aide du mot de passe d'accès : supprimer, renommer, écrire, lire ou exécuter. | |
random access memory ou RAM | Cette expression ou abréviation permet d'indiquer la mémoire à semi-conducteur pouvant être adressée directement et depuis ou sur laquelle on peut écrire. La "RAM utilisateur" est la partie de la RAM n'étant pas touchée par le code TRSDOS et DISK BASIC, de l'hexadécimal 7000 à la fin de la mémoire. | |
real-time clock | Cette expression permet d'indiquer une routine pilotée par des interruptions gardant le temps en mettant à jour certains emplacements de mémoire toutes les 25 millisecondes, quelles que soient les tâches d'arrière-plan en cours. A la mise sous tension, l'horloge temps réel est réglée sur 00:00:00. Lorsque les interruptions sont désactivées, l'horloge est arrêtée. | |
reset | Ce mot permet d'appuyer sur le bouton de réinitialisation à l'arrière gauche du TRS-80, à côté de la connexion de l'interface d'extension. Appuyer sur Reset équivaut à allumer l'ordinateur, sauf que le contenu de la RAM utilisateur n'est pas affecté. | |
resident system program | Cette expression permet d'indiquer la partie de TRSDOS restant dans la RAM ; le programme TRSDOS exécutif, appelant d'autres codes TRSDOS selon les besoins. | |
read-only memory ou ROM | Cette expression ou abréviation permet d'indiquer la mémoire semi-conductrice préprogrammée directement adressable mais uniquement accessible en lecture et non en écriture. Le LEVEL II du TRS-80 comprend 12 Ko ou ROM, où un programme d'amorçage, LEVEL II BASIC et d'autres codes sont entreposés en permanence. | |
routine | Ce mot permet d'indiquer une séquence d'instructions pour exécuter une certaine fonction ; généralement, une routine peut être appelée à partir de plusieurs points dans un programme. Par exemple : routine d'analyse du clavier. | |
sector | Ce mot permet d'indiquer un dixième de piste sur une disquette, contenant 256 octets d'entreposage ; un enregistrement physique TRSDOS. | |
sequential access | Cette expression permet d'indiquer l'action de lire à partir d'un fichier disque ou y écrire du début à la fin, sans pouvoir accéder directement à un enregistrement particulier du fichier. | |
statement | Ce mot permet d'indiquer une instruction complète en BASIC. | |
string | Ce mot permet d'indiquer toute séquence de caractères dont la signification doit être examinée textuellement : en d'autres termes, la chaîne de caractères ne correspond pas à une quantité. Par exemple, le nombre 1234 représente la même quantité que 1000+234, mais pas la chaîne "1234". (L'addition de chaînes est en fait une concaténation, ou un enchaînement, de sorte que : "1234" est égal à "1"+"2"+"3"+"4"). | |
system file | Cette expression permet d'indiquer un fichier disque TRSDOS avec l'extension /SYS. Ces fichiers sont protégés en lecture. Pour éviter toute confusion, n'utilisez pas l'extension /SYS sur vos propres fichiers de disque. | |
syntax | Ce mot permet d'indiquer les exigences grammaticales pour une commande ou une instruction. La syntaxe fait généralement référence à la ponctuation et à l'ordre des éléments dans une instruction. | |
task | Ce mot permet d'indiquer une routine relativement fondamentale que l'ordinateur exécute périodiquement ou sur demande. | |
track | Ce mot permet d'indiquer l'un des 35 cercles concentriques sur le disque, chacun contenant 10 secteurs ou 2560 octets d'entreposage. Les pistes ne sont pas des entités physiques comme les grooves d'un disque ; ce sont des traces magnétiques. | |
transfer address | Voir entry point. | |
TRSDOS | Ce mot provient de l'abréviation de l'anglicisme «TRS-80 Disk Operating System» prononcé "triss-doss". Le TRSDOS est fourni sur disque et est ensuite chargé dans la RAM. | |
user RAM ou user memory | Voir random access memory. | |
utility | Ce mot permet d'indiquer un programme ou une routine servant un objectif limité et spécifique. Il existe deux utilitaires TRSDOS étendus, FORMAT et BACKUP, et deux utilitaires non TRSDOS, DISKDUMP/BAS et TAPEDISK. | |
write-protect | Cette expression permet d'indiquer l'action de protéger physiquement un disque contre l'écriture en plaçant une bande sur l'encoche de protection en écriture. |
Dernière mise à jour : Mercredi, le 22 février 2023