Sommaire
- Introduction
- De quel unité votre système d'exploitation DOS a-t-il démarrer?
- De quel version de système d'exploitation DOS s'agit-il?
- Est-ce que l'unité spécifiée est un disque virtuel?
- Changer le titre d'une application DOS sous OS/2
- Changer le titre d'une application DOS sous Windows 9X
- Exécution de programmes fils et de sessions
Introduction
Le système d'exploitation DOS (DR-DOS, MS-DOS, PC-DOS, FreeDOS, boîte de compatibilité OS/2 et Windows NT) fournissent des services de fonctions à partir essentiellement de l'interruption 21h. Cependant , tous particulièrement le MS-DOS fait également appel à l'interruption 2Fh pour des fonctions personnels, cependant elles ne sont pas officiel et nous référençable pour une application voulant tourner sur n'importe quel DOS, cette interruption ne devrait être utilisé que pour les pilotes et les périphériques supplémentaires et il n'y a donc aucun intérêt à décrit ici l'utilisation qu'en font certain marginal. De ce fait, nous nous centrerons essentiellement sur l'interruption 21h car lorsqu'on désigne une interruption DOS, on parle en général de celle-ci. L'interruption 2Fh est surnommée l'interruption multiplex.
Un détail important pour les néophytes, Windows 95 et considéré comme un DOS 7.0 et Windows 98 est de sont côté comme une version déboguer du DOS 7 et est donc numéroté comme 7.10. Le fin de ne pas prendre ce système d'exploitation comme pour une véritable système différent du DOS tient du fait qu'il n'est en réalité aucunement différent du DOS. En fait il s'agit d'un DOS avec un environnement intégrée au moyen «d'une broche à cheveux» (MSDOS.SYS) dans lequel il suffit de spécifier le chargement de l'environnement graphique multi-tâche ou non. Alors comment pourrait tout différencier messieurs? Par ses bugs? Peut-être mais cette technique ne serait pas loyal envers les émulateurs de Windows 95 et 98 qui eux fonctionne parfaitement. Vous me ferez remarquer que les noms longs ne sont pas disponibles lorsqu'on ne fait que charger le noyau, c'est vrai, mais il ne s'agit que d'un drapeau à activer pour que le tour soit jouer.
De quel unité votre système d'exploitation DOS a-t-il démarrer?
Naturellement, il s'agit de la demande en information la plus importante pour un programmeur, de quel unité le système d'exploitation a-t-il été chargé avant d'arriver en mémoire? La réponse devrait être fort simple mais hélas, il faudra attendre une version 4 du DOS (peu fiable d'ailleurs)avant d'obtenir ce service, cependant les boîtes de compatibilité OS/2 et NT offre heureusement ce service dès leur premier version.
Pour connaître la réponse à cette mystérieuse question, il faudra faire appel à l'interruption 21h, appeler la fonction 33h et la sous-fonction 05h et regarder le contenu du registre AL. Dans le registre AL la réponse retourner commence à 1 pour A:, 2 pour B et ainsi de suite, le 0 n'est pas utilisée, toutefois on peut l'exploitation éventuellement dans un programme pour en déduire que le DOS à qui ont à faire ne comprend pas la question.
Dans l'exemple suivante, cette fonction permet de connaître l'unité de démarrage sous lequel le système d'exploitation a été lancée. Si la fonction ne réussit pas à déterminer de quel unité a été lancée le système, elle renvoie l'unité A:. La fonction suivant permet de renvoie des unités correspondant à ceci à une lettre d'unité correspondante: A=A:, B=B:, C=C:,.... Exemple en Turbo Pascal 6 ou postérieur :
FunctionGetBootDisk:Char;Assembler;ASM
MOV AX,3305h
INT
21h
MOV AL,DL
OR
AL,AL
JZ @End
DEC
AX
@End:
ADD
AL,65 { Addition la lettre A }
END;
De quel version de système d'exploitation DOS s'agit-il?
Mais si vous avez remarquée les remarques de la fonction précédente, vous avez sens doute remarquer que la version de DOS était nécessairement requis pour obtenir des résultats satisfaisant. De ce fait, il en existe deux disponibles, sous le système d'exploitation DOS. Quoi deux fonctions? Oui, avec le DOS tout est possible, mais le voile n'est pas encore lever:
- La plus ancienne n'est disponible qu'à partir de la version 2 du DOS et ne retourne pas toujours la vérité à partir du DOS 5 et postérieur (Interruption 21h, fonction 30h). Normalement c'est toujours elle qu'on utilise.
- La deuxième ne disponible qu'à partir de la version 5 du DOS et retourner cependant toujours la vérité (Interruption 21h, fonction 33h, sous-fonction 06h).
Le pourquoi de ce genre de casse-tête? Figurer vous que les concepteurs du DOS n'ont songer qu'à partir de la version 2 du DOS qu'il pourrait être d'intérêt, pour le programmeur, de connaître la version, puisqu'il ne s'agissait que d'une version copier du CP/M enfin de compte, il ne semblait pas, pour eux, qu'une évolution été nécessaire. Cependant à partir de la version 2, les fichiers furent gérer par les Handles et on n'eut pas d'autres choix que d'informer le programmeur de la présence de ces fonctions si on veut qu'il puisse être utilisé. Toutefois, le problème ne s'arrête pas là! Ainsi, le système d'exploitation DOS effectua tellement des modifications importantes et qui plus est n'étant pas toujours présente pour longtemps (exemple la fonction 63h n'existant qu'avec la version 2.25 seulement, 50h, 51h n'étant disponible qu'avec la version 2 du DOS, les fonctions de pays étant mise-à-jour de façon douteuse entre les versions 2, 3 et 3.3) que certains programmes sont devenus tout simplement paranoïaque avec le système d'exploitation et ainsi il ne fonctionnait qu'avec une version spécifique du DOS. Par exemple il fonctionnait avec la version 2 mais refusait de partir avec la version 3 et ainsi de suite. Ainsi pour remédier au cafouillis qu'ils ont créer avec leur DOS, ont du offrir les services d'une deuxième fonction permettant d'obtenir la véritable version de DOS. Puisque dorénavant elle peut changer pour n'importe quel numéro afin de berner les programmes trop atteint d'une forme aiguë de schizophrénie...
Donc comment permettre de répondre correctement à ce genre de problème, surtout que les nouveaux système d'exploitation plus puissant que DOS ont rendu les calculs encore plus compliqué:
- Le DOS 1.x retourne toujours comme version 0.0.
- L'OS/2 retourne une version multiplié par 10 ainsi la version Warp 3 (numéro 2.1) retournera 20.10, la version Warp 4 retournera 20.30. (Et 20.20 ne semble pas exister...).
- Le Windows NT retourne une version correspondant à un DOS fictif numéroté 5.5.
Exemple en Turbo Pascal 6 ou postérieur :
Function GetDosVersion:Word;Assembler;ASM
MOV AH,30h
INT
21h
OR AX,AX
JNZ
@End
MOV AH,1 {
Écrit la version 1.0 si le DOS est 0.0 donc en fin de
compte la version 1}
@End:
END;
Est-ce que l'unité spécifiée est un disque virtuel?
Une des inquiétudes qu'on les programmeurs quand il s'agit d'installer un logiciel , c'est de savoir si l'unité référencer n'est pas un disque dur mais un disque virtuel, car il est inutile d'installer un logiciel si vous l'effacer au prochain redémarrage de la machine, NON? Alors, comment faire pour savoir si l'unité spécifié n'est en faite qu'une unité virtuel (disque en mémoire RAM de la machine). Il existe une technique semblant faire l'affaire, elle n'est pas officiellement référencer par les système d'exploitation, mais tous les éléments existe sur n'importe quel DOS ou boîte de compatibilité OS/2. Cependant celle-ci peut parfois avoir certains accrochages avec la boîte de compatibilité de Windows NT. En effet celle-ci n'autorise pas la lecture du premier secteur d'un disque quelconque même s'il s'agit que d'un vulgaire disque virtuel, de ce fait l'utilisateur de votre programme verra apparaître un message l'inviter sois à fermer l'application ou à continuer. Mais hormis cette boîte de compatibilité, les autres systèmes comprennent mieux les motivations d'un programme DOS.
Enfin voici donc la technique a utilisé pour y arriver, technique inspiré d'un certain Li-Hsin Huang:
- Il s'agit d'utiliser l'interruption 25h (celle-ci lisant un secteur absolue spécifique sur l'unité spécifier).
- Ensuite de tester le nombre de FAT présente sur l'unité de disque spécifier et si son nombre correspond à 1 (et non pas 2) c'est qu'il s'agit d'un disque virtuel.
Dans l'exemple suivant la routine attend une unité correspondant à 0=A:, 1=B:, 2=C:,... et retourne vrai (TRUE) si le teste est concluant et faux (FALSE) s'il ne s'agit pas d'une unité virtuel.
*ATTENTION au programmeur voulant la traduire directement en assembleur sans le Pascal, l'exemple suivant nécessite une pile d'au moins 1 Ko.
Exemple en Turbo Pascal 6 ou postérieur :
Function
IsRAMDrive(Drive:Integer):Boolean;Assembler;Var
Temp:Boolean;ASM
MOV Temp,False
PUSH
DS
MOV BX,SS
MOV
DS,BX
SUB SP,0200h
MOV
BX,SP
CLD
MOV
AX,DS
MOV ES,AX
MOV
DI,BX
MOV CX,0100h
XOR
AX,AX
REP STOSW {
Initialise le tampon à 0 en cas d'erreur}
MOV
AX,Drive { le tampon ne sera pas
fonçement interpréter}
MOV
CX,1
XOR DX,DX
INT
25h { Lecture du secteur de démarrage
}
ADD SP,2
JC
@@1
MOV BX,SP
{**** Les deux lignes d'assembleur
suivantes devront peut-être être éliminer car
certaines unités virtuel comporte malgré tout un
identificateur de disque dur}
CMP Byte Ptr SS:[BX+15h],0F8h {
Vérification de disque dur }
JNE
@@1
{Fin du teste d'identificateur de disque
à enlever au besoin... **** }
CMP Byte Ptr SS:[BX+10h],1 {
Vérification d'une simple FAT }
JNE
@@1
MOV Temp,True
@@1:
ADD SP,0200h
POP
DS
MOV AL,Temp
END;
Changer le titre d'une application DOS sous OS/2
Sous le système d'exploitation OS/2, n'importe quel application y compris une application DOS, peut changer le titre de la fenêtre sous lequel OS/2 le fait tourner. Pour pouvoir modifier ce nom, on utilise la fonction 64h de l'interruption 21h de la façon suivante:
Procedure
OS2SetTitle(Name:PChar);Assembler;ASM
MOV AH,64h
MOV DX,0001h
MOV CX,636Ch
XOR BX,BX
LES DI,Name
INT 21h
END;
Changer le titre d'une application DOS sous Windows 9X
Dans l'environnement Windows , il est également possible de modifier le nom de l'application comme sous OS/2, on utilisera bien entendu une fonction différente, d'une autre interruption, c'est a dire l'interruption 2Fh, fonction 16h:
Function
Win95SetTitle(Name:PChar):Boolean;Assembler;ASM
MOV AX,168Eh
XOR DX,DX
LES DI,Name
INT 2Fh
END;