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Commodore

Commodore International, fondée dans les années 1950, est devenue une figure emblématique de l'histoire de l'informatique personnelle, notamment grâce à sa contribution majeure au développement des micro-ordinateurs durant les années 1970 et 1980. L'entreprise a commencé à se faire connaître dans ce domaine avec la sortie du Commodore PET (Personal Electronic Transactor) en 1977, l'un des tout premiers ordinateurs personnels à écran intégré. S'ensuivent les séries CBM, VIC-20, et surtout le Commodore 64, lancé en 1982, qui est devenu l'ordinateur personnel le plus vendu de tous les temps avec des ventes dépassant les 17 millions d'unités. Commodore a continué à innover en sortant des modèles comme le Commodore Plus/4, la gamme C16/C116, et enfin la célèbre série Amiga à partir de 1985, avec des machines puissantes comme l'Amiga 500. Ces ordinateurs couvraient des usages aussi variés que les jeux, la bureautique, la programmation et la création multimédia. Commodore a produit des micro-ordinateurs de 1977 jusqu'au milieu des années 1990, mais son déclin progressif, dû à des erreurs de gestion et une forte concurrence, a mené à sa faillite en 1994. Néanmoins, son héritage reste vivant grâce à une vaste communauté de passionnés et à son rôle pionnier dans la démocratisation de l'informatique personnelle.

Liste des modèles

Voici les différents modèles proposé par le fabricant «Commodore» :

Modèle Année Description
116 1984 à 1985 Le Commodore 116 fait partie de la gamme TED, lancée pour offrir une alternative économique aux ordinateurs plus puissants de l'époque. Destiné principalement au marché européen, ce modèle compact se distingue par son clavier en caoutchouc et ses capacités graphiques supérieures au VIC-20. Malgré son prix abordable, il a souffert d'un manque de logiciels compatibles.
232 1984 Le Commodore 232 est un modèle extrêmement rare de la série 264. Il était prévu pour inclure 32 Ko de RAM et conserver l'architecture TED. Il n'a jamais été commercialisé en masse et n'existe qu'en quelques prototypes. Son objectif était d'offrir un ordinateur d'entrée de gamme entre le C116 et le 264.
264 1984 Le Commodore 264 était une désignation interne pour la série TED, ayant donné naissance à plusieurs modèles comme le C16, le C116 et le Plus/4. Il devait être un ordinateur polyvalent pour les affaires et la maison, doté de 64 Ko de RAM et d'un logiciel bureautique intégré. Sa sortie a été éclipsée par le succès du C64.
3008 1979 Le Commodore PET 3008 est une version simplifiée de la série PET 2001. Il embarque 8 Ko de RAM et était destiné aux écoles ou aux utilisateurs débutants. Son design tout-en-un avec clavier, écran intégré et lecteur de cassettes le rendait pratique, mais ses capacités techniques étaient limitées face à la concurrence croissante.
3016 1977 Le Commodore PET 3016 est l'un des premiers modèles de la série PET, avec 16 Ko de RAM. Il se distingue par son écran monochrome intégré et son boîtier robuste. Il a été particulièrement populaire dans les milieux éducatifs grâce à sa simplicité d'utilisation et à son système BASIC intégré dans la ROM.
3032 1979 Le Commodore PET 3032 est une évolution du 3016, doté de 32 Ko de RAM. Il a conservé l'écran monochrome intégré et le châssis en métal. Cette machine était très répandue dans les établissements scolaires et les petites entreprises, en raison de sa stabilité, de son BASIC puissant et de sa facilité d'entretien.
364   Le Commodore 364 était un prototype basé sur la série TED, doté d'un synthétiseur vocal et d'un clavier étendu. Il ne fut jamais commercialisé, mais était destiné à offrir une expérience multimédia avancée. Son annulation fut principalement due à la redondance avec d'autres modèles comme le Plus/4 et à un coût de fabrication élevé.
4008 B 1980 Le PET 4008 B est une version européenne de la gamme PET 4000, embarquant 8 Ko de RAM. Il disposait d'un clavier plus ergonomique que ses prédécesseurs et conservait l'écran intégré. Conçu pour les tâches éducatives et bureautiques simples, il a contribué à renforcer la position de Commodore dans les établissements scolaires.
4008 N 1980 Version nord-américaine du PET 4008, le 4008 N reprenait les mêmes caractéristiques techniques que son homologue européen. Il se distinguait toutefois par une disposition de clavier légèrement différente. Ce modèle à RAM limitée convenait principalement à l'apprentissage de la programmation BASIC et aux petites applications utilitaires.
4016 B 1980 Le PET 4016 B faisait partie de la gamme PET 4000 avec 16 Ko de RAM. Il offrait un clavier plus convivial et un châssis plus accessible que la première série. Destiné au marché européen, il fut largement adopté dans les environnements éducatifs et scientifiques, surtout pour son BASIC et sa fiabilité matérielle.
4016 N 1980 Le PET 4016 N est la déclinaison nord-américaine du 4016. Il conservait les 16 Ko de RAM et l'écran intégré monochrome, tout en s'adaptant aux normes de clavier et de tension électrique des États-Unis. Il a été utilisé principalement dans l'enseignement secondaire et les petites entreprises pour des tâches de base.
4032 B 1980 Le PET 4032 B est l'un des modèles les plus populaires de la série 4000, avec 32 Ko de RAM. Il combinait puissance relative, robustesse et un écran de 12 pouces intégré. Apprécié dans les universités et les administrations, il permettait d'exécuter des programmes éducatifs, comptables et de gestion simples avec un grand confort.
4032 N 1980 Identique au 4032 B en termes de spécifications, le PET 4032 N était destiné au marché nord-américain. Sa mémoire de 32 Ko et son architecture fiable en ont fait une machine prisée dans les laboratoires et les écoles. Il supportait une large variété de périphériques Commodore comme les lecteurs de disquettes et imprimantes.
500 1987 à 1991 L'Amiga 500, lancé en 1987, est l'un des plus grands succès de Commodore. Basé sur un processeur Motorola 68000, il proposait des capacités graphiques et sonores révolutionnaires pour l'époque. Grâce à sa puissance, son prix abordable et sa bibliothèque de jeux riche, il est devenu un standard dans les foyers et studios de création.
505   Le Commodore 505 est un modèle très rare de la série CBM-II, également connue sous le nom de série B. Il était destiné au marché européen et faisait partie des efforts de Commodore pour pénétrer le segment professionnel avec des ordinateurs plus avancés que la série PET.
510 1982 Le Commodore CBM 510, aussi appelé P500, faisait partie de la série CBM-II. Destiné au marché professionnel, il était équipé d'un processeur MOS 6509 et de 128 Ko de RAM. Son design rappelait celui du Commodore 64, mais il offrait des fonctionnalités avancées pour l'époque, notamment en matière de gestion de la mémoire. Cependant, en raison d'une concurrence féroce et d'une stratégie marketing confuse, le CBM 510 n'a pas rencontré le succès escompté.
610 1982 Le Commodore CBM 610, également connu sous le nom de B128 aux États-Unis, était un ordinateur de la série CBM-II destiné au marché professionnel. Il était doté d'un processeur MOS 6509 et de 128 Ko de RAM. Son design sobre et ses capacités en faisaient une machine adaptée aux applications bureautiques. Cependant, la série CBM-II n'a pas connu un grand succès commercial, en partie à cause de la concurrence et d'une stratégie produit peu claire.
620 1983 Le Commodore CBM 620 était une variante du modèle 610, offrant les mêmes caractéristiques techniques avec un processeur MOS 6509 et 128 Ko de RAM. Destiné au marché européen, il visait les utilisateurs professionnels ayant besoin d'une machine fiable pour des tâches bureautiques. Malgré ses atouts, le CBM 620 a souffert d'un manque de logiciels dédiés et d'une concurrence accrue, limitant ainsi son adoption sur le marché.
630 1983 Le Commodore CBM 630 était similaire au CBM 620, mais avec 256 Ko de RAM et une carte additionnelle permettant l'utilisation d'un coprocesseur Intel 8088. Cette configuration visait à offrir une compatibilité avec les logiciels conçus pour les systèmes basés sur Intel, notamment le système d'exploitation CP/M. Cependant, peu de logiciels ont été développés pour tirer parti de cette architecture hybride, ce qui a limité l'attrait du CBM 630 auprès des professionnels.
64 1982 Le Commodore 64 est l'un des micro-ordinateurs les plus célèbres et les plus vendus de l'histoire. Il embarque 64 Ko de RAM, un processeur MOS 6510, le célèbre chip sonore SID 6581, ainsi que le VIC-II pour la gestion graphique. Il a marqué toute une génération par ses jeux, ses logiciels éducatifs et ses capacités multimédia. Sa popularité est due à son prix abordable, à son immense bibliothèque logicielle et à une communauté très active. Le C64 est resté sur le marché pendant plus d'une décennie, devenant une véritable icône de l'informatique familiale.
710 1982 Le Commodore CBM 710 faisait partie de la série CBM-II haut de gamme, destinée au marché professionnel. Il se distinguait par son design élégant avec un boîtier en plastique courbé et un clavier détachable. Équipé d'un processeur MOS 6509 et de 128 Ko de RAM, il offrait un écran intégré de 12 pouces. Malgré ses caractéristiques avancées, le CBM 710 n'a pas réussi à s'imposer face à la concurrence, en partie à cause de son prix élevé et d'une stratégie marketing insuffisante.
720 1982 Le Commodore CBM 720 était une version améliorée du CBM 710, doté de 256 Ko de RAM. Comme son prédécesseur, il présentait un design soigné avec un clavier détachable et un écran intégré de 12 pouces. Destiné aux professionnels nécessitant plus de mémoire pour leurs applications, le CBM 720 offrait des performances accrues. Cependant, la série CBM-II n'ayant pas rencontré le succès escompté, le CBM 720 est resté relativement rare sur le marché.
730 1982 Le Commodore CBM 730 était similaire au CBM 720, mais incluait en plus une carte coprocesseur Intel 8088, visant à améliorer la compatibilité avec les logiciels professionnels de l'époque. Cette addition rendait le système plus polyvalent, mais le manque de logiciels optimisés pour cette configuration a limité son adoption. Comme les autres modèles de la série CBM-II, le CBM 730 n'a pas réussi à s'imposer sur le marché professionnel.
8008 1980 Le Commodore CBM 8008 faisait partie de la série PET 8000, introduite en 1980. Il était équipé de 8 Ko de RAM et d'un écran monochrome de 80 colonnes par 25 lignes. Destiné aux applications professionnelles et éducatives, il offrait des améliorations significatives par rapport aux modèles précédents, notamment en termes d'affichage et de capacités mémoire. Cependant, les limitations en termes de logiciels disponibles ont restreint son adoption.
8016 1980 Le Commodore CBM 8016, également membre de la série PET 8000, proposait 16 Ko de RAM et un affichage de 80x25 caractères. Conçu pour les environnements professionnels et éducatifs, il permettait l'exécution de programmes plus complexes que ses prédécesseurs. Néanmoins, la concurrence accrue sur le marché des micro-ordinateurs a limité sa diffusion.
8032 1980 Le Commodore PET 8032 était une évolution notable de la série PET, offrant 32 Ko de RAM et un écran intégré de 80 colonnes par 25 lignes. Il était particulièrement apprécié dans les milieux éducatifs et professionnels pour sa robustesse et sa simplicité d'utilisation. Le PET 8032 a contribué à asseoir la réputation de Commodore dans le domaine des micro-ordinateurs.
8032 SK 1980 Le Commodore PET 8032-SK est une variante du PET 8032 avec un design modernisé. Le suffixe "SK" signifie "Separate Keyboard", car ce modèle introduit un clavier détachable et un boîtier redessiné plus ergonomique. Il conserve les 32 Ko de RAM et l'écran 80 colonnes. Il visait le marché professionnel, avec une esthétique plus en phase avec les standards du bureau. Ce changement de design marquait une volonté de Commodore d'aligner ses produits sur les besoins plus exigeants des entreprises et des institutions éducatives.
8096 1980 Le Commodore CBM 8096 est une extension du PET 8032, conçu pour les utilisateurs ayant besoin de plus de mémoire. Il embarque 96 Ko de RAM, soit 32 Ko standard et 64 Ko supplémentaires accessibles via des techniques de mémoire bancarisée. Ce modèle est particulièrement utile dans des contextes scientifiques et industriels, nécessitant des calculs intensifs ou la manipulation de gros volumes de données. Son architecture est restée compatible avec les logiciels du PET, tout en offrant des possibilités accrues.
8096 D 1980 Le Commodore CBM 8096-D est une version du 8096 livrée avec deux lecteurs de disquettes intégrés dans le même boîtier. Cela permettait un usage plus pratique dans les environnements de bureau, facilitant la copie de disquettes ou la gestion de bases de données. Le double lecteur représentait un gain de productivité notable à une époque où les supports de stockage restaient limités. Il combinait puissance mémoire et praticité matérielle, tout en restant compatible avec les logiciels de la série PET.
8096 SK 1980 Le Commodore 8096-SK reprend les caractéristiques du 8096 avec 96 Ko de RAM, mais ajoute un clavier séparé et un boîtier redessiné, identique à celui du 8032-SK. Ce modèle offrait donc à la fois une ergonomie améliorée et une capacité mémoire supérieure, en faisant une machine prisée dans les laboratoires et les services techniques. Le design séparé du clavier facilitait le travail prolongé, tandis que la mémoire étendue permettait l'exécution de programmes plus complexes.
8296 1984 Le Commodore CBM 8296 est le successeur du 8096, intégrant 128 Ko de RAM de base et conservant un affichage 80x25. Il était destiné aux utilisateurs professionnels et aux établissements d'enseignement ayant besoin d'une machine plus puissante. Compatible avec la plupart des logiciels PET, il apportait une capacité mémoire accrue et un support plus fiable pour les périphériques modernes. C'est l'un des derniers modèles de la lignée PET avant la transition vers des architectures plus modernes comme les séries Amiga.
8296 D 1984 Le Commodore CBM 8296-D intégrait, comme le 8096-D, deux lecteurs de disquettes dans le boîtier principal, offrant une solution tout-en-un puissante. Son design visait l'usage intensif de logiciels de bureautique ou scientifiques, facilitant la manipulation de fichiers sans changer sans cesse de disquette. Il représentait l'aboutissement de la série PET/CBM, combinant compatibilité, performances, et ergonomie professionnelle. Ce modèle était particulièrement populaire dans les laboratoires de recherche ou les écoles techniques.
900 1983 Le Commodore 900, également appelé Z-Machine, était une tentative ambitieuse de Commodore pour pénétrer le marché des stations de travail. Basé sur un processeur Zilog Z8000 et le système d'exploitation Coherent (type UNIX), il était doté d'un système multitâche avancé pour son époque. Cependant, le projet fut annulé avant sa commercialisation. Quelques prototypes ont survécu, devenant des pièces de collection rares. Ce projet montre l'intérêt de Commodore à aller au-delà du marché domestique, vers des solutions plus professionnelles.
Amiga 500 1987 à 1991 L'Amiga 500 est l'un des micro-ordinateurs les plus populaires de Commodore. Doté d'un processeur Motorola 68000 et de 512 Ko de RAM (extensible), il était destiné au grand public tout en offrant des capacités graphiques et sonores impressionnantes. Il supportait un affichage en 4096 couleurs (HAM) et des effets sonores sur 4 canaux. Très prisé pour les jeux, la création graphique et la musique, il a marqué toute une génération d'utilisateurs. Grâce à son prix compétitif et sa puissance, il a contribué au succès durable de la gamme Amiga.
Amiga 500 Plus 1991 L'Amiga 500 Plus est une version améliorée du célèbre Amiga 500. Il intègre 1 Mo de RAM en standard, le nouveau chipset ECS (Enhanced Chip Set) et une ROM Kickstart 2.04. Ces améliorations permettent de meilleures performances graphiques et une compatibilité élargie avec les logiciels récents. Bien que son succès commercial ait été freiné par sa sortie tardive et la transition vers l'Amiga 600, il a été apprécié par les utilisateurs souhaitant une machine plus moderne sans changer complètement de plateforme.
Amiga 600 1992 L'Amiga 600 est un modèle compact de la gamme Amiga, conçu pour remplacer le 500 Plus. Il intègre un lecteur de disquette interne, le chipset ECS, le Kickstart 2.05, et un port IDE pour disque dur, mais perd le pavé numérique pour gagner en compacité. Il visait les utilisateurs domestiques souhaitant un ordinateur multimédia élégant. Malgré ses innovations, il a été critiqué pour son prix élevé et la suppression de certaines fonctionnalités attendues. Il reste aujourd'hui une machine culte parmi les passionnés d'Amiga.
Amiga 600HD 1992 L'Amiga 600HD est une version améliorée de l'Amiga 600, équipée d'un disque dur de 40 Mo en standard, ce qui facilitait le stockage et l'accès aux programmes. Compact et sans pavé numérique, il utilisait le chipset ECS et était compatible avec le système d'exploitation AmigaOS 2.0. Il visait le marché domestique et apportait une transition vers des systèmes plus modernes avec une interface utilisateur graphique améliorée. Il est considéré comme un pont entre les anciens modèles et les séries plus puissantes.
Amiga 1000 1985 L'Amiga 1000 fut le premier ordinateur de la gamme Amiga, célèbre pour son système d'exploitation multitâche préemptif et son architecture graphique avancée. Il introduisait un design novateur avec un clavier coulissant et utilisait un Motorola 68000 à 7,14 MHz. Sa capacité à gérer le son, la vidéo et les animations en faisait un choix privilégié pour la création multimédia, posant les bases de la réputation créative des machines Amiga. Il nécessitait un disque de démarrage pour charger le Kickstart.
Amiga 1200 1992 L'Amiga 1200 succède au 500 Plus avec un processeur Motorola 68EC020, le chipset AGA (Advanced Graphics Architecture), et AmigaOS 3.0. Son boîtier compact abritait un port IDE interne et un slot PCMCIA. L'A1200 visait aussi bien les joueurs que les utilisateurs avancés, grâce à ses capacités graphiques accrues, sa palette de 16,8 millions de couleurs et sa compatibilité avec les anciens logiciels. Malgré une arrivée tardive sur un marché déjà dominé par le PC, il fut très populaire dans la communauté.
Amiga 1500 1990 L'Amiga 1500 est une variante britannique de l'Amiga 2000, commercialisée par Commodore UK. Il était livré avec deux lecteurs de disquettes internes au lieu d'un disque dur, ce qui le rendait plus accessible tout en conservant les performances du modèle 2000. L'A1500 permettait l'ajout de cartes d'extension, ce qui en faisait une machine appréciée pour les applications semi-professionnelles. Il était compatible avec les logiciels Amiga et offrait un excellent rapport qualité/prix pour les utilisateurs avancés.
Amiga 2000 1987 L'Amiga 2000 est un micro-ordinateur modulaire et puissant destiné à un usage professionnel. Doté d'un boîtier tour avec plusieurs slots d'extension Zorro II et ISA, il permettait une personnalisation importante. Son architecture ouverte, sa capacité graphique avancée et sa compatibilité avec les cartes vidéo ou genlocks le rendaient idéal pour la vidéo, la PAO et les tâches de bureautique avancées. Il était également très utilisé en Europe par les chaînes de télévision pour le titrage.
Amiga 2000A 1987 Version légèrement révisée de l'Amiga 2000, le modèle 2000A conservait l'esprit modulaire du système tout en apportant des ajustements au niveau de la carte mère pour améliorer la fiabilité et la compatibilité. Il utilisait le même processeur Motorola 68000 et offrait les mêmes possibilités d'extension. Ce modèle témoignait de la volonté de Commodore d'optimiser ses systèmes en fonction des retours utilisateurs. Il était apprécié pour son évolutivité.
Amiga 2500 1989 L'Amiga 2500 est une déclinaison haut de gamme du 2000, proposée avec un processeur 68020 ou 68030 selon les versions, ce qui augmentait sensiblement les performances. Destiné aux utilisateurs exigeants, il était équipé d'une carte accélératrice et souvent d'un disque dur. Il s'adressait notamment au marché professionnel dans les domaines de la production vidéo, la modélisation 3D et le calcul scientifique. Il combinait la puissance d'un Amiga et la modularité d'une station de travail.
Amiga 2500/20 1989 Cette version de l'Amiga 2500 intégrait une carte d'extension avec un processeur 68020, améliorant la vitesse d'exécution des applications complexes. Elle était équipée de mémoire RAM étendue et souvent livrée avec un disque dur SCSI. Elle se positionnait comme une solution professionnelle complète, notamment pour les applications de post-production ou de CAO. L'AmigaOS restait compatible avec les logiciels plus anciens, assurant une bonne transition technologique.
Amiga 2500/30 1989 L'Amiga 2500/30 poussait encore plus loin les performances avec un processeur Motorola 68030 à 25 MHz, offrant des vitesses de traitement nettement supérieures. Cette version était idéale pour la création de contenus multimédia, l'animation, ou encore l'utilisation dans des environnements scientifiques. Elle comportait également des interfaces SCSI et plus de mémoire, ce qui renforçait son positionnement haut de gamme. C'était l'un des Amiga les plus puissants à sa sortie.
Amiga 2500/UX 1989 L'Amiga 2500/UX était livré avec la version UNIX System V, développée en collaboration avec AT&T, ce qui en faisait une machine hybride Amiga/UNIX. Il visait le marché des stations de travail avec des outils de développement et des capacités multitâches avancées. Équipé du processeur 68030 et de composantes professionnelles, il proposait une plateforme sérieuse pour les développeurs UNIX tout en conservant les atouts multimédia de l'Amiga. Ce modèle est resté rare mais emblématique.
Amiga 3000 1990 L'Amiga 3000 était une véritable station de travail, dotée d'un processeur 68030, d'un bus Zorro III rapide, de la mémoire Fast RAM, d'un disque dur SCSI et d'AmigaOS 2.0. Sa performance graphique et sa rapidité en faisaient une machine puissante pour les professionnels du graphisme, de la vidéo et du son. Il offrait aussi une interface utilisateur plus moderne. Son châssis était compact mais très bien ventilé, et il pouvait aussi faire tourner une version d'UNIX.
Amiga 4000 1992 L'Amiga 4000 introduisait le chipset AGA, avec une amélioration significative des capacités graphiques : 256 couleurs sur écran ou 16,8 millions en palette. Il embarquait un processeur 68030 ou 68040 selon les versions, et tournait sous AmigaOS 3.0. Sa conception modernisée et ses capacités accrues lui permettaient de concurrencer les stations graphiques de l'époque. Utilisé dans les domaines de l'animation, du montage vidéo et du graphisme, il fut un sommet de la gamme Commodore.
Amiga 4000T 1994 Dernier modèle de la série Amiga produit sous la bannière Commodore (puis Escom), l'Amiga 4000T était une tour très puissante équipée du 68040 ou 68060, de ports IDE/SCSI, et du chipset AGA. Son architecture permettait une grande évolutivité, le rendant adapté aux professionnels exigeants, notamment en vidéo avec les cartes Video Toaster. Sa rareté en fait aujourd'hui une machine de collection recherchée. Il est considéré comme l'aboutissement de la vision Amiga avant la chute de Commodore.
B128-40 1982 Le Commodore B128-40, également connu sous le nom de CBM 600, fait partie de la série CBM-II destinée au marché professionnel. Il est équipé d'un processeur MOS 6509, de 128 Ko de RAM et offre un affichage en 80 colonnes. Son design "low-profile" intègre un clavier complet avec pavé numérique et 12 touches de fonction. Conçu pour succéder à la série PET, il propose des ports IEEE-488 et RS-232C pour la connectivité avec des périphériques externes. Malgré ses caractéristiques avancées, le B128-40 n'a pas rencontré un grand succès commercial, notamment en raison de la concurrence accrue sur le marché des ordinateurs professionnels à cette époque.
B128-80 1982 Le Commodore B128-80 est une variante du B128-40, appartenant également à la série CBM-II. Il se distingue principalement par son affichage en 80 colonnes, adapté aux applications professionnelles nécessitant une large zone d'affichage textuel. Doté de 128 Ko de RAM et d'un processeur MOS 6509, il dispose de ports IEEE-488 et RS-232C pour la connexion à divers périphériques. Son design épuré et son clavier complet avec pavé numérique le rendent ergonomique pour une utilisation bureautique. Cependant, comme les autres modèles de la série, le B128-80 a souffert d'une adoption limitée sur le marché, en partie à cause de la forte concurrence et du positionnement de Commodore principalement orienté vers le marché grand public.
B256-40 1982 Le Commodore B256-40 fait partie de la série CBM-II et est conçu pour le marché professionnel. Il est équipé d'un processeur MOS 6509 et de 256 Ko de RAM, offrant une capacité mémoire supérieure pour des applications plus exigeantes. Comme les autres modèles de la série, il propose un affichage en 80 colonnes et dispose de ports IEEE-488 et RS-232C pour la connectivité avec des périphériques externes. Son design "low-profile" intègre un clavier complet avec pavé numérique, facilitant son utilisation dans un environnement de bureau. Malgré ses caractéristiques techniques avancées, le B256-40 n'a pas connu un grand succès commercial, en partie à cause de la concurrence accrue sur le marché des ordinateurs professionnels et de la focalisation de Commodore sur le segment grand public.
B256-80 1982 Le Commodore B256-80 est un micro-ordinateur de la série CBM-II, destiné aux environnements professionnels nécessitant des capacités de traitement avancées. Il est doté d'un processeur MOS 6509 et de 256 Ko de RAM, offrant une performance accrue pour les applications complexes. Son affichage en 80 colonnes est particulièrement adapté aux tâches bureautiques et de gestion de bases de données. Le B256-80 dispose également de ports IEEE-488 et RS-232C, facilitant la connexion à une variété de périphériques. Son design "low-profile" avec un clavier complet et ergonomique le rend pratique pour une utilisation prolongée. Cependant, malgré ses atouts, le B256-80 n'a pas réussi à s'imposer sur le marché, en raison notamment de la concurrence et du positionnement de Commodore davantage axé sur les ordinateurs personnels.
B500 1982 Le Commodore B500, également connu sous le nom de CBM 500, est l'un des premiers modèles de la série CBM-II. Il est équipé d'un processeur MOS 6509 et de 128 Ko de RAM, extensible selon les besoins. Destiné au marché professionnel, le B500 propose un affichage en 80 colonnes et intègre des ports IEEE-488 et RS-232C pour la connexion à divers périphériques. Son design "low-profile" comprend un clavier complet avec pavé numérique et 12 touches de fonction, facilitant son utilisation dans des environnements bureautiques. Bien que techniquement avancé pour son époque, le B500 a connu une distribution limitée et n'a pas rencontré un succès commercial significatif, en partie à cause de la concurrence et du positionnement de Commodore sur le marché des ordinateurs personnels.
CD32 1993 L'Amiga CD32 est une console de jeu vidéo domestique développée par Commodore, lancée en 1993. Basée sur l'architecture de l'Amiga 1200, elle est équipée d'un processeur Motorola 68EC020 et du chipset AGA, permettant l'affichage de 256 couleurs simultanées à l'écran. La CD32 est la première console de jeu 32 bits à utiliser le support CD-ROM comme principal média, offrant ainsi une capacité de stockage accrue pour les jeux. Elle dispose de ports pour manettes, d'une sortie vidéo composite et S-Video, ainsi que d'une sortie audio stéréo. Malgré des caractéristiques techniques prometteuses et une bibliothèque de jeux variée, la CD32 a souffert de la faillite imminente de Commodore, limitant sa distribution et son succès commercial.
CDTV 1990 à 1995 Le Commodore CDTV (Commodore Dynamic Total Vision) est un système multimédia domestique lancé en 1991, combinant les fonctionnalités d'un ordinateur Amiga avec un lecteur de CD-ROM. Il est basé sur l'architecture de l'Amiga 500, équipé d'un processeur Motorola 68000 et de 1 Mo de RAM. Le CDTV est conçu pour être utilisé dans le salon, avec une interface contrôlable via une télécommande infrarouge, et propose des applications telles que des encyclopédies multimédias, des jeux éducatifs et des titres de divertissement. Malgré son concept innovant, le CDTV n'a pas rencontré le succès escompté, en partie à cause d'un positionnement marketing flou et d'un prix élevé. Sa production a cessé en 1995, laissant place à d'autres initiatives multimédias de Commodore.
Commodore 16 1984 Le Commodore 16 a été conçu pour remplacer le VIC-20 et cibler les utilisateurs débutants. Il intègre 16 Ko de RAM et repose sur un processeur 6502 compatible. Il faisait partie de la série 264 de Commodore, et offrait un langage BASIC plus évolué (BASIC 3.5) que celui du C64. Il se distingue aussi par son port cassette mini-DIN et ses capacités graphiques légèrement supérieures à celles du VIC-20. Toutefois, il souffrait d'une incompatibilité avec les logiciels du C64, ce qui a freiné son adoption. Il a connu un succès modeste, surtout en Europe de l'Est.
Commodore 64 1982 Le Commodore 64 est l'un des micro-ordinateurs les plus célèbres et les plus vendus de l'histoire. Il embarque 64 Ko de RAM, un processeur MOS 6510, le célèbre chip sonore SID 6581, ainsi que le VIC-II pour la gestion graphique. Il a marqué toute une génération par ses jeux, ses logiciels éducatifs et ses capacités multimédia. Sa popularité est due à son prix abordable, à son immense bibliothèque logicielle et à une communauté très active. Le C64 est resté sur le marché pendant plus d'une décennie, devenant une véritable icône de l'informatique familiale.
Commodore 65 1990 Le Commodore 65, aussi connu sous le nom de C64DX, est un prototype conçu pour succéder au Commodore 64 tout en restant compatible avec lui. Il offrait 128 Ko de RAM extensible, un processeur 4510 cadencé à 3,5 MHz, un affichage en 256 couleurs et un lecteur de disquettes intégré. Le BASIC 10.0 inclus proposait de nombreuses nouvelles commandes. Malgré ses caractéristiques avancées pour l'époque, le projet a été annulé avec la faillite imminente de Commodore, et seuls quelques centaines d'unités de pré-production ont été fabriquées. Ces modèles sont aujourd'hui des pièces de collection très recherchées.
Commodore 128 1985 Le Commodore 128 était un micro-ordinateur 8 bits puissant conçu comme successeur du Commodore 64, avec lequel il était entièrement compatible. Il incluait 128 Ko de RAM, un second processeur Zilog Z80 permettant l'exécution de CP/M, ainsi que trois modes d'exploitation : C128, C64 et CP/M. Il possédait deux puces vidéo distinctes, dont une pour l'affichage 80 colonnes. Il se démarquait par ses capacités étendues en comparaison du C64, mais peu de logiciels utilisaient pleinement ses nouvelles fonctionnalités. Malgré cela, il a connu un succès honorable avant d'être éclipsé par l'essor des ordinateurs 16 bits.
Commodore 128D 1987 Le Commodore 128D est une version remaniée du C128, avec un design de type "desktop" plus professionnel. Il intègre un lecteur de disquettes 1571 directement dans le boîtier, un clavier détachable, et une meilleure ventilation. À l'intérieur, il conserve les mêmes caractéristiques que le C128 : double processeur (MOS 8502 et Z80), compatibilité C64, 128 Ko de RAM et affichage 80 colonnes. Ce format plus robuste et ses caractéristiques en ont fait une machine appréciée dans les milieux semi-professionnels, notamment dans les écoles et les petites entreprises. Il reste aujourd'hui l'un des modèles les plus soignés de la série 8 bits.
Commodore LCD 1985 Le Commodore LCD est un ordinateur portable à écran LCD monochrome qui n'a jamais été commercialisé. Il devait embarquer un processeur 65C102, 32 Ko de RAM et 96 Ko de ROM contenant le BASIC 3.6. L'écran pouvait afficher 80 colonnes sur 16 lignes, et la machine intégrait un calendrier, une calculatrice, un terminal et un éditeur de texte. Ce modèle avait pour ambition de concurrencer les ordinateurs portables de l'époque, mais le projet fut abandonné avant la mise sur le marché, probablement à cause du coût de production et du changement de stratégie de Commodore. Aujourd'hui, quelques prototypes subsistent, très prisés des collectionneurs.
DX-64 1984 Le Commodore DX-64 est une version portable du C64, intégrée dans un boîtier en métal avec un écran couleur de 5 pouces et deux unités de disquettes 1541 intégrés. Conçu pour les professionnels en déplacement, il conserve toutes les caractéristiques du C64 standard. Le clavier est amovible et sert de couvercle de transport. Bien que pratique sur le papier, le DX-64 souffrait de son poids important (près de 10 kg), de la consommation énergétique élevée, et de son prix. Il n'a jamais été produit en masse, ce qui en fait aujourd'hui une rareté très recherchée par les amateurs de matériel rétro.
Educator 64 1983 à 1985 L'Educator 64 est une version conçue pour le milieu scolaire du Commodore 64. Il est intégré dans un boîtier inspiré des PET, souvent en métal, avec un petit écran monochrome intégré de 9 pouces. Il ne proposait pas de port RF ni de sortie vidéo couleur, ce qui le rendait inadapté aux jeux - un choix volontaire de Commodore pour éviter les distractions en classe. L'Educator 64 visait l'éducation avec un environnement robuste et un BASIC connu, mais il a été peu adopté en dehors des États-Unis. Il symbolise l'effort de Commodore pour percer dans le marché éducatif face à Apple.
MAX 1982 Le Commodore MAX Machine, aussi appelé Ultimax au Japon, est un micro-ordinateur très simplifié préfigurant le Commodore 64. Il disposait de seulement 2 Ko de RAM et utilisait le même processeur graphique VIC-II et le chip sonore SID. Conçu pour un public jeune et comme console éducative, il fonctionnait essentiellement avec des cartouches. Toutefois, sa mémoire très limitée, l'absence de port série et de compatibilité cassette ont freiné son succès. Il a été un échec commercial, principalement distribué au Japon. Néanmoins, certains de ses composantes ont été réutilisés dans le développement du C64.
MDS 6500   Le Commodore MDS 6500 appartient à la série PET 2000 de Commodore, caractérisée par des ordinateurs personnels destinés au marché éducatif et professionnel. Ces machines étaient équipées de claviers complets, d'un écran de 9 ou 12 pouces, et d'une interface IEEE-488 pour la connexion de périphériques tels que des lecteurs de disquettes et des imprimantes. Cependant, sans données spécifiques sur le MDS 6500, il est difficile de fournir une description détaillée de ses caractéristiques techniques et de son impact sur le marché.
P128   Le Commodore P128 est un ordinateur personnel faisant partie de la série CBM-II, destinée au marché professionnel, et qu'il partage des caractéristiques avec d'autres modèles de cette série, tels que le processeur MOS 6509, une quantité de RAM significative, et des interfaces IEEE-488 et RS-232C pour la connectivité avec divers périphériques.
P500 1982 e Commodore P500 est un membre de la famille PET-II, également connue sous le nom de CBM-II. Destiné au marché professionnel, il était équipé d'un processeur MOS 6509, de 128 Ko de RAM, et offrait un affichage en 80 colonnes. Son design rappelait celui des ordinateurs personnels de l'époque, avec un clavier complet et un boîtier compact. Malgré ses caractéristiques avancées, le P500 n'a pas rencontré un grand succès commercial, en partie à cause de la concurrence accrue sur le marché des ordinateurs professionnels et de la focalisation de Commodore sur le segment grand public.
PC-1 1987 Le Commodore PC-1 est un ordinateur personnel compatible IBM PC, introduit par Commodore en 1987. Conçu pour être une alternative abordable aux IBM PC, il était équipé d'un processeur Intel 8088 cadencé à 4,77 MHz, de 256 Ko de RAM (extensible à 512 Ko), et d'un lecteur de disquettes 5,25 pouces. Son boîtier compact intégrait la carte mère et le lecteur de disquettes, tandis que le clavier était séparé. Le PC-1 visait le marché domestique et les petites entreprises, offrant une compatibilité logicielle avec les applications IBM PC courantes. Cependant, il a dû faire face à une concurrence féroce et n'a pas réussi à s'imposer significativement sur le marché.
PC-10 1985 Le Commodore PC-10 était une alternative économique à l'IBM PC. Il était équipé d'un processeur Intel 8088 cadencé à 4,77 MHz, de 256 Ko de RAM (extensible à 640 Ko), et d'un lecteur de disquettes 5,25 pouces de 360 Ko. Conçu pour être compatible avec les logiciels IBM PC, le PC-10 offrait une solution abordable pour les utilisateurs domestiques et professionnels. Son boîtier robuste et sa compatibilité en ont fait un choix populaire pour ceux qui recherchaient une alternative aux systèmes IBM plus coûteux.
PC-20 1985 Le Commodore PC-20, lancé en 1985, était une version améliorée du PC-10, intégrant un disque dur de 10 Mo en plus de l'unité de disquettes 5,25 pouces. Il était équipé d'un processeur Intel 8088 à 4,77 MHz et de 256 Ko de RAM, extensible à 640 Ko. Destiné aux petites entreprises et aux utilisateurs domestiques avancés, le PC-20 offrait une compatibilité avec les logiciels IBM PC et une capacité d'entreposage accrue, facilitant la gestion de données volumineuses et l'exécution d'applications plus complexes.
PC-30 1988 Le Commodore PC-30, introduit en 1988, était un ordinateur personnel compatible IBM PC conçu pour offrir des performances accrues. Il était équipé d'un processeur Intel 80286 cadencé à 12 MHz, avec un disque dur de 20 Mo et de la RAM extensible. Il visait les utilisateurs professionnels.
PC-5 1984 Le Commodore PC-5 est un modèle appartenant à la première génération de compatibles IBM PC lancés par Commodore. Il visait le marché professionnel et embarquait un processeur Intel 8088, un lecteur de disquettes et une RAM extensible.
PET 2001 1977 Le Commodore PET 2001 est l'un des premiers micro-ordinateurs personnels tout-en-un. Il comportait un clavier, un écran monochrome intégré de 9 pouces, un lecteur de cassette et un processeur MOS 6502. Il a été populaire dans l'éducation et les entreprises.
PET 2001 16B 1979 Variante améliorée du PET 2001, le 2001 16B offrait 16 Ko de RAM et une disposition du clavier plus confortable. Il faisait partie des modèles CBM destinés aux professionnels, avec un affichage en texte 40 ou 80 colonnes et une compatibilité avec les périphériques IEEE-488.
PET 2001 16N 1979 Le PET 2001 16N faisait partie de la gamme initiale de la série PET de Commodore. Ce modèle était doté de 16 Ko de RAM et utilisait le processeur MOS 6502. Il était principalement utilisé dans les environnements éducatifs et professionnels, avec un affichage en 40 caractères sur 25 lignes.
PET 2001 32B 1979 Le PET 2001 32B était une version améliorée du modèle 16N, offrant une capacité mémoire étendue à 32 Ko de RAM. Il était également équipé du processeur MOS 6502 et destiné à des usages plus intensifs, notamment dans le développement de logiciels et les applications d'affaires.
PET 2001 32N 1979 Similaire au 32B, le PET 2001 32N offrait également 32 Ko de RAM, mais avec des améliorations dans l'affichage graphique et les périphériques de stockage, rendant ce modèle plus adapté pour les environnements de programmation avancée et l'expansion avec des accessoires IEEE-488.
PET 2001-8 1978 Le PET 2001-8 était le tout premier modèle de la gamme PET, avec 8 Ko de RAM. Il disposait d'un écran monochrome intégré et d'un lecteur de cassette pour l'entreposage des données. Bien qu'il ait eu un début modeste, il a été un pionnier dans le domaine des micro-ordinateurs personnels.
PET 2001 8B 1979 Le PET 2001 8B était une version légèrement améliorée du modèle d'origine, avec 8 Ko de RAM. Il était destiné à des tâches simples de calcul, à des fins pédagogiques, et à des utilisations de base dans les bureaux. Il offrait un clavier complet et un affichage de 40 colonnes.
PET 2001 8N 1979 Le PET 2001 8N, avec 8 Ko de RAM, était conçu pour les environnements éducatifs. Ce modèle offrait une interface plus simple pour les utilisateurs novices, et sa compatibilité avec les périphériques comme les lecteurs de disquettes et les imprimantes a contribué à sa popularité.
Plus/4 1984 Le Commodore Plus/4, lancé en 1984, était un ordinateur personnel à bas prix avec un processeur MOS 6510 et 64 Ko de RAM. Bien que populaire en Europe, il n'a pas rencontré un grand succès mondial en raison de la concurrence de l'Amiga et des limitations de son logiciel.
SP9000 1984 Le SP9000 était un modèle avancé de Commodore conçu pour le marché professionnel. Il offrait une architecture robuste avec des capacités d'extension pour des tâches spécialisées comme la gestion de bases de données et les calculs scientifiques. Il était plus coûteux que les autres modèles grand public.
SX-64 1983 à 1984 Le Commodore SX-64 était le premier ordinateur portable de Commodore. Il avait un écran couleur de 5 pouces et était compatible avec les disquettes 5,25 pouces. Doté de 64 Ko de RAM, il visait les professionnels et les utilisateurs souhaitant un ordinateur portable avec des fonctionnalités avancées.
VIC-20 1980 Le VIC-20, lancé en 1980, est l'un des premiers ordinateurs personnels de Commodore. Avec seulement 5 Ko de RAM, il était destiné aux utilisateurs de base et à ceux débutant dans le domaine de l'informatique. Il offrait un clavier complet et un large choix de jeux et logiciels éducatifs.


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Dernière mise à jour : Mercredi, le 2 Juin 2021