Le projet Système Information est un projet que j'ai écrit en Turbo Pascal lorsque j'avais 18 ans, soit en 1992. Il permettait d'obtenir de nombreuses informations sur le système, la carte vidéo et presque toutes les composantes imaginables de l'époque. En plus, il avait un côté assez spectaculaire, comme des animations en écran de texte et il utilisait une police de caractères particulière afin par exemple d'afficher une épée en écran de texte.

Le logiciel avait été conçu sur un Amdek System/88, lequel ne fonctionnait qu'à une vitesse maximal de 9,57 Mhz, pour obtenir une vitesse d'affichage satisfaisante, il fallait donc exploiter au maximum l'écran et ne pas utilisé l'écran graphique. De plus, la solution d'affichage graphique de Turbo Pascal, lequel utilisait des pilotes BGI n'était pas très performante, le choix était donc évident, qu'il était préférable de sacrifier certains caractères et d'utiliser plutôt l'écran de texte et non pas l'écran graphique. Aussi, bien que totalement inutile, il y avait un affichage de l'heure actuel, en seconde, afin de démontrer que l'affichage était performante. Cet ajout temporaire, fut garder de façon permanente puisqu'il évoquait également un symbole de stabilité. Car oui, lorsque leur arrêtait de progresser, le micro-ordinateur avait planté.

L'écran de texte ne supportait pas la haute intensité comme arrière-plan à l'époque mais les logiciels de Central-Point et de Norton supportait pourtant cette caractéristiques, beaucoup de recherche ont été effectué pour arrivé au même résultat qu'eux. Dans le même sens, le reste du logiciel devait faire de nombreux appel directement à l'électronique pour obtenir des informations satisfaisante, car le système d'exploitation ou le BIOS n'avaient pas de réponse très convaincante. Ce fut donc, à partir de ce moment, que j'ai commencé à me détaché des produits du code pré-fabriquer des entreprises car j'avais constaté leurs nombreuses faiblesses.

A l'époque j'utilisais le nom de «Les Chevaliers de Malte», lequel n'avait rien à voir avec l'Ordre du même nom. L'origine était la juxtaposition de deux éléments, mon nom de famille était Maltais et mon intérêt pour les jeux médiévale. Plus tard, je utilisé le nom de gladir, car il était unique et qu'il était le nom d'un histoire de science fiction que j'avais écrit. Le nom de l'application était écrit en bas à droite, cette idée provenait encore une fois des applications Norton, plaçant le nom de leur utilitaire en bas à droite.

A l'époque les courbes comme les demi-cercles était très rare dans les logiciels professionnels, mais en même temps, les boutons sur les appareils physique était pourtant rond, j'ai donc imaginé de modifier le début et la fin d'un bouton afin de placer un cercle lequel est en faite deux caractères pour donner une impression plus réaliste et proche de la réalité. Aussi, j'admirais la pomme le menu du haut d'un Macintosh, je trouvais qu'il donnait du style, j'ai donc, mit un symbole M dans un bouclier dans le côté gauche du haut de mon programme afin que mon logiciel est également du style.

Les cartes graphiques étaient une grande passion pour beaucoup de monde à l'époque. Beaucoup de monde voulait connaître des informations précise sur l'affichage avant de connaître le micro-processeur de la machine. J'avais donc, délibérément placé le menu «Vidéo» avant le micro-processeur. La carte vidéo était aussi une intrigue intéressante, car la plupart des cartes Super VGA n'avait pas 256 Ko mais souvent 512 Ko ou 1 Mo de mémoire. Pourtant, lorsqu'on utilisait un logiciel professionnel, il affichait que la machine avait 256 Ko et non pas 512 ou 1 Mo et qu'il s'agissait uniquement d'une carte vidéo VGA.